vendredi, 16 février 2007
Cynégétique 10
16:54 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 12 février 2007
Météo 19
18:05 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 11 février 2007
Plus ça change...
Un certain Émile Acollas écrivait cela en... 1869. Toute ressemblance avec notre actualité politique serait purement fortuite.
09:46 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 10 février 2007
Gauloises bleues
10:19 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
Oxymore
"dans sa forme la plus générale, l’oxymore établit une relation de contradiction entre deux termes qui dépendent l’un de l’autre." (georges Molinié, Dictionnaire de rhétorique)
Exemple, dans Le Nouvel Observateur de cette semaine : "intellos ségolénistes"
"Variété la plus corsée de caractérisation non pertinente, l’oxymore, précise Molinié, ne doit pas être confondu avec le problème de l’évocation d’un objet du monde aberrant."
08:16 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 04 février 2007
Les plaisirs du dimanche 3
19:04 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
samedi, 03 février 2007
Ghost Busters
Je reçois de la Société Française d'Étude du Seizième Siècle une invitation à une conférence sur le thème : "Que reste-t-il de Louise Labé ?"
Bien sûr, je n’irai pas, puisque l’on connaît déjà la réponse — et que je n’ai pas envie de l’entendre : de la belle "Lionnoize", il ne reste qu’un mythe et quelques textes qu’elle n’a pas écrits…
Tout de même, cela ne laisse pas de m’intriguer : si la tendre poétesse n’a jamais été qu’un fantoche, pourquoi cet acharnement borné à pourchasser, après si longtemps, le spectre de Louise, gracieux phantasme entr’aperçu au détour d’un sonnet ?
15:35 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (11)
jeudi, 01 février 2007
Eau de rose
13:35 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 31 janvier 2007
Du beurre, de l'eau, du vin...
16:50 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 27 janvier 2007
Nella neve
Samedi froid et humide. La neige se prépare à tourner à la patouille. Immense fatigue. la lecture des journaux toujours aussi déprimante : le vide et la vulgarité, l’écœurante ineptie du discours politique — ou de ce qui en tient lieu —, les dithyrambes convenus des pages prétendument culturelles, la même admiration consensuelle pour les livres dont il faut parler sans les avoir lus… Côté blogs, ce n’est guère plus réjouissant : les éternels imprécateurs, les graphomanes frustrés, les aigris, les ratiocinateurs, les verbigérateurs, les faux poètes et les imbéciles. Laissons tout cela, après une furtive visite aux amis. La soirée se passera tranquillement, à écouter Schubert, à feuilleter Vittorio Sereni :
Lierres ? étoiles imparfaites ? cœurs obliques ?
Où conduisaient-ils, quels messages
ébauchaient-ils, légers ?
Pas si banals ces signes,
Et ne fût-ce qu’un trottinement de poules
— si chantait clair l’invite
d’une bave céleste dans le faible jour.
Mais il pleuvait déjà sur la neige,
dure redevenait la chère énigme.
Pour une trace confortable et sûre
je déviais, je trahissais une fois encore.
(Les Instruments humains, Verdier, 1991)
20:20 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (0)