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mercredi, 27 juin 2007

"Déconcertant mes regards, un lézard…"

Pendant que les amis lisaient des poèmes près de la fosse, un petit lézard gris se faufila jusqu’à une tombe où il demeura immobile, comme attentif. Humble hommage qui, plus que tout éloge posthume, eût ravi celui que nous pleurions.

Commentaires

La perfection en 4 lignes. Magistral.

Écrit par : Ph. | samedi, 30 juin 2007

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