samedi, 23 juin 2007
Bord des larmes

Nous aurait-il conduits aujourd'hui, ce Baedecker du chagrin, en ces contrées de vignes et de coteaux que tu aimais tant ? Adieu, Gérard. Tu étais de l'espèce de "ceux que l'on oublie difficilement". Les types comme toi ne devraient jamais mourir.
20:06 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Merdre.
Chagrin.
Il est des notes qu'on aimerait n'avoir pas lu.
Écrit par : P.G. | lundi, 16 juillet 2007
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