mardi, 19 septembre 2006
Poésie aphoristique
Le cœur du sensible souffre trop pour aimer
(Henri Michaux)
Chaque homme est traversé
Par des voies sans issue
(Paul Valet)
Fumer peut entraîner
Une mort lente et douloureuse
(directive 2001/37/CE du 5 juin 2001)
21:21 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Qui ne compte pas
n'a pas l'âme d'un poète.
Bon, c'est tristement exprimé.
Écrit par : mongka | mardi, 19 septembre 2006
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