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dimanche, 14 mai 2006

Le vain travail de voir divers pays

Les W., qui ont du temps et — à défaut de dromadaires — une confortable retraite, courent le monde et l’admirent. Ils envoient à leurs amis, purotins sédentaires, des cartes postales en couleurs du Grand Canyon ou de Rio de Janeiro.
W., retour de Chine, livre ses impressions d’Asie : "Ben, y’en a, du monde !"

Pour ma part, moi qui pâlis au nom de Vancouver, faisant de nécessité vertu, je photographie avec un enthousiasme médiocre les champs de colza du pays d'Othe ou les croix de pierre du Bourbonnais.

Commentaires

J'ai pâli, moi aussi, autrefois. Mais depuis Marcel Thiry, Vancouver a changé. J'y ai passé une semaine, il y a une dizaine d'années. Le site est très beau. Le centre, plein d'immeubles vertigineux, non fumeurs (c'est écrit à côté de la porte d'entrée). Tout autour, aussi loin que l'oeil porte, maisonnette après maisonnette. Dans les bus, des affiches demandant à chacun ayant connaissance d'un délit de le déclarer aux autorités.
Un superbe bâtiment, dans l'une des deux universités, a été offert à la communauté par un immigré (chinois). Trois quotidiens en chinois paraissent à Vancouver, c'est un peu plus que les quotidiens pour immigrés en France.
Il y a un moment dans l'année - ce n'était pas celui de mon séjour - où l'on prend des bateaux pour aller voir passer les baleines dans le détroit. De quoi pâlir, encore un peu...

Écrit par : Pierre Enckell | dimanche, 14 mai 2006

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