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samedi, 12 novembre 2005

Météo 8

Regenwetter ziehen trübe,
Und der Himmel scheint mir grau.
Ach ! der Sommer ist entschwunden,
Und der Winter naht sich rauh.

[...]

Alles trübe, alles traurig,
Wie dies Herz in meiner Brust.
Ach ! den Spätherbst meines Lebens
Fühl' ich, ohne Frühlingslust...

(Otto von Briesen, "Letzter Seufzer") 

 

Commentaires

La langue allemande est faite pour la poésie et non pour la prose, affirme Madame de Staël, deshalb sind sie so Romantisch ?

Écrit par : Lapinos | dimanche, 13 novembre 2005

Sie, die Deutschen, meine ich (Ich bin nicht flüssig.)

Écrit par : Lapinos | dimanche, 13 novembre 2005

Ma connaissance de la langue allemande étant plutôt indigente, je ne me risquerai pas à commenter le jugement de Mme de Staël. J'ai simplement aimé de ce "Dernier soupir", lied populaire sur des paroles d'un auteur fort obscur, le côté romantico-kitsch, les clichés faciles qu'on aime bien, finalement, prendre au premier degré...

Écrit par : C.C. | lundi, 14 novembre 2005

Moi non plus je ne suis pas assez calé en allemand. C'est une constatation de Mme de Staël que la poésie allemande est de meilleure qualité que la prose ; question de vocabulaire, avance-t-elle, plus riche pour exprimer des sentiments, des idées, la langue allemande est "(…) un instrument qui sert très bien quand on veut tout peindre ou tout dire ; mais on ne peut pas glisser avec l'allemand comme avec le français sur les divers sujets qui se présentent."

Je crois que Mme de Staël se trompe quand elle dit que l'allemand permet de creuser plus profondément une idée que le français, mais ce serait trop long à développer ici.

Écrit par : Lapinos | lundi, 14 novembre 2005

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