jeudi, 13 décembre 2012
"Un silence vibrant"
Solitaires, nous ne dialoguons qu'avec d'autres solitudes, attentifs au seul friselis des voix éteintes — ou très lointaines — s'échappant, furtives comme poissons d'argent, d'entre les pages tournées.
22:28 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Superbe sentence, cher Constantin.
Merci.
Écrit par : delorée | vendredi, 14 décembre 2012
Rien qu'un peu de mélancolie. La grisaille des journées et la lecture des "papiers journaux" de Calaferte ou Julien Green en sont sans doute la cause...
Parlez-moi de la "magie de Noël et je vous f... mon poing sur la g... — sauf le respect que je vous dois !
Écrit par : C.C. | vendredi, 14 décembre 2012
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