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mercredi, 28 décembre 2011

Au gui l'an neuf !

Gage traditionnel de prospérités futures, le gui n’en est pas moins de funeste augure pour les oiseaux. "Les grives, peut-on lire dans le dictionnaire de Trévoux, sont fort friandes des baies du gui. Elles les avalent et les vuident ensuite sur les branches des arbres où elles se perchent ; par ce moyen elles donnent lieu à une nouvelle production du gui. Mais en écrasant ces baies avec leurs pieds ou avec leur bec, elles en font sortir la glu, par laquelle elles s'attachent aux branches. Ce qui a fait dire à Plaute que la grive chie sa mort : ipsa sibi avis mortem cacat."

Commentaires

Tiens, il faudrait composer un "Quantique" du gui : à la fois parasite et sacré.
Mes meilleurs voeux de ce que vous voudrez (ou pas) cher Constantin. Partagez-les avec tous les vôtres : ça, c'est un ordre...

Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 06 janvier 2012

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