mardi, 22 mars 2011
Petite anthologie portative 64
LA ROSÉE SUR LES FEUILLES D'AIL
L'ail était couvert de rosée,
Qui, vite, au soleil disparut.
La rosée envolée, à l'aube prochaine, redescendra ;
L'homme meurt et s'en va : quand donc reviendra-t-il ?
(T'ien Heng — IIIe s. av. J.-C. — in Anthologie de la poésie chinoise classique, Poésie/Gallimard, 1982)
17:28 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Si l'homme meurt dans de trop beaux draps, qu'il aille au lit pour ne pas avoir maille aux niaises (désolé, c'est très nul... je sais. Mon gage ?)
Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 25 mars 2011
@ML : "Ne forçons point notre talent, etc."
Écrit par : C.C. | dimanche, 27 mars 2011
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