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mercredi, 05 mai 2010

Quatrième férie

Journée glaciale, ciel livide. Les jardins sont tout blancs, il neige sur les glycines et les lilas. Peu de goût pour le travail ou la lecture : quelques pages du Journal de Larbaud, les chapitres de Domaine français sur Héroët ou Scève... Lecture distraite, paresseuse, opportunément interrompue par les visites et les coups de téléphone. Un voisin, vieux garçon affable et ombrageux, nous invite à passer prendre un verre avant le dîner. Nous causons une petite heure en vidant une bouteille de bordeaux liquoreux plus que trentenaire : château de Saint-Hilaire — hasard objectif, c'est aujourd'hui la fête du saint éponyme, mort le 5 mai 449.

Commentaires

Hilaire est mort à (en non "en") Arles, hilare. (souhaitons-le pour lui du moins)
Car Arles est sienne comme disait Bizet (Ah ! Ah !)
Désolé...

Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 07 mai 2010

Mais Arles n'est pas Sienne, çà, je vous le dis.

Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 07 mai 2010

Prends garde à la douleur des chauves.

Écrit par : P.-J. T. | vendredi, 07 mai 2010

"Un oranger sur le sol irlandais,
On ne le verra jamais.
Un jour de neige embaumé de lilas,
Jamais on ne le verra." (Eddy Marnay 1958)

Écrit par : paul | samedi, 08 mai 2010

à la radio hier matin on fêtait les 60 ans de l'europe (ceca) et dans le programme figurait cette chanson, le choix était bon mais les commentaires proécologistes qui suivirent contestèrent outragreusement Bourvil et Marnay. et vous même ! c'est un scandale !

Écrit par : paul | dimanche, 09 mai 2010

Faute d'orangers, il y a les orangistes...

Écrit par : C.C. | dimanche, 09 mai 2010

Les commentaires sont fermés.