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lundi, 25 janvier 2010

Amour des listes et orgue 6

Pour peu qu'on ait envie d'écouter autre chose que Bénabar ou Les Quatre Saisons, les solderies réservent parfois d'heureuses surprises. Acquisitions récentes :

John Corigliano, Tournaments Overture, Elegy, Concerto pour piano et orchestre, Gazebo Dances (Orchestre de Louisville, First Edition, 2001) ;
Roy Harris, Kentucky Spring, Concerto pour violon et orchestre, Symphonie n° 5 (Orchestre de Louisville, First Edition, 2002) ;
Lebocal, Collectif etc... (Le Chant du monde, 2002) ;
Orchestre national de jazz/Franck Tortiller, Électrique (Le Chant du monde, 2007) ;
Mick Rossi, One Block from Planet Earth (OmniTone, 2004) ;
Jamie Baum Septet, Moving Forward, Standing Still (OmniTone, 2004) ;
David Liebman Big Band, Beyond the Line (OmniTone, 2003) ;
Marty Ehrlich, Line on Love (Palmetto Records, 2003) ;
Gianni Lenoci, Giorgio Dini, Markus Stockhausen, Ergskkem (Silta Records, 2006).

En fond sonore, Brahms, Mein Jesu, der du mich.

Commentaires

Soufflé !!! Je suis un vrai Béotien ! Hors Brahms, quand même.
Ce soir, entrée dans l'univers de Chopin.

Écrit par : grapheus tis | mercredi, 27 janvier 2010

Je vous rassure : la plupart du temps, je ne connais absolument pas ces compositeurs ou ces musiciens ! Mais, eu égard aux prix pratiqués (moins de 10 euros pour le lot de disques énumérés ici), je ne prends pas beaucoup de risques ! Et l'on découvre ainsi, parfois, des choses fort intéressantes — Jamie Baum Septet, par exemple : un ensemble conduit par une flûtiste de formation classique, qui pratique un jazz élégant, raisonnablement audacieux — ou les compositeurs américains de la collection consacrée aux enregistrements de l'orchestre de Louisville, comme Roy Harris ou Henry Cowell. Une brève notice est d'ailleurs consacrée à ces deux derniers dans le dictionnaire de la musique de Marc Honegger. Marty Ehrlich et David Liebman figurent pour leur part dans le dictionnaire du jazz de Carles, Clergeat et Comolli ("Bouquins", 1994).

Écrit par : C.C. | mercredi, 27 janvier 2010

Ah, Jamie Baum - ça c'est du grandiose !

Écrit par : G. Cingal | dimanche, 31 janvier 2010

Les commentaires sont fermés.