Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 février 2009

Les plaisirs du dimanche 7

Durant toute la matinée, j'ai fait brûler, au milieu du jardin, des paperasses dans un grand baril de tôle. La quantité de papier que nous accumulons inutilement en l'espace de quelques mois est proprement stupéfiante. Je pense à cette formule de Tournier dans Les Météores : "L'Occidental est tellement entiché de paperasserie qu'il s'en fourre jusque dans le cul."

Commentaires

Ce matin même, j'ai filtré mon café avec du papier toilette, justement détourné faute de filtre. Ca ne filtre pas très bien mais quand on est lundi matin et caféïnomane...

Écrit par : paul | lundi, 02 février 2009

On peut, naturellement, imaginer la situation inverse. "Mais ô le mal plaisant torchecul", eût dit le jeune Gargantua... Bel exemple d'attelage rhétorique dans votre dernière proposition.

Écrit par : C.C. | lundi, 02 février 2009

Les commentaires sont fermés.