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jeudi, 30 octobre 2008

Con comme la mort

Les productions du kitsch funéraire d’aujourd’hui vous dégoûteraient de mourir ; du moins vous incitent-elles à vous brouiller d’urgence avec les derniers cousins susceptibles encore de déposer, par hypocrisie posthume, quelque immondice tumulaire sur votre lame. Les plaques à thème, en résine ou en altuglass, constituent sans doute l’un des sommets du genre. Plus que le silence des abîmes pascaliens, ce sont ici la niaiserie et la vulgarité superlatives qui suscitent l’effroi.

Commentaires

Oui, mais le 3 novembre, on peut avoir moins trente pour cent !

Écrit par : Le Morse | jeudi, 30 octobre 2008

"La Mort est mon métier" — ou mon fonds de commerce : il y a quelques années, l'entreprise de pompes funèbres de ma commune avait placé en vitrine, au moment de la quinzaine commerciale, une affichette proclamant "Je participe" !

Écrit par : C.C. | vendredi, 31 octobre 2008

L'entrepreneur aurait dû écrire: "Je participe passé"

Écrit par : rph | samedi, 01 novembre 2008

Deux nouveautés cette année (vues dans des journaux tv)

- Le cercueil écologique,

- Le vélo-taxi de cimetière.

Écrit par : paul | samedi, 08 novembre 2008

Le siècle de Pascal a prémédité l'altuglass. Si on avait brûlé Pascal, comme on brûla Giordano Bruno avant lui, on n'en serait pas là. Il faut parfois savoir se débarrasser d'un malfaisant ou deux pour éviter des dommages plus grands.

Écrit par : Lapinos | mardi, 25 novembre 2008

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