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jeudi, 19 juin 2008

Festival de cannes

Aux caisses du supermarché, des flyers jaune bouton d’or informent le chaland qu’Amandine et Laurène, "monitrices des Majortwirls avec Abigaelle et Mathilde", organisent dans notre commune le "premier festival de Majorettes, avec la présence de plusieurs clubs et démonstrations de Twirling". Une fois de plus, je songe à cette cruelle remarque de R.C., à propos de "ces pauvres enfants, affublés […] d’un prénom qui ne dit rien d’autre, à leur sujet, que la médiocrité culturelle de leurs origines". Que confirme, ajouterai-je, le choix de leurs activités de loisir.

Commentaires

Evidemment, si vous-même vous étiez nommé porphyrogénète... ( étant d'une extraction en deçà du médiocre, je me suis , quant à moi rapproché des peuplades cephalotomes)

Écrit par : Flivo | samedi, 21 juin 2008

Le porphyrogénète, né coiffé, se contente de péter dans la soie. Le Copronyme, en ce domaine, ne s'en tint pas à la métaphore.
Hasard objectif : dans le roman de Nesbø que je lis en ce moment, un tueur utilise une scie-fil vétérinaire. Littré indique qu'un instrument analogue utilisé en obstétrique est appelé... céphalotome.

Écrit par : C.C. | samedi, 21 juin 2008

Qui est donc ce cruel RC: Camus?

Écrit par : Ph. | mercredi, 25 juin 2008

Camus, en effet, in "Répertoire des délicatesses du français contemporain" (P.O.L., 2000, p. 252-253, article "Jérémie, Jeremy, Jérémy"). Voir aussi les remarques sur Cyrille, Ghislain, Valery, etc.

Écrit par : C.C. | mercredi, 25 juin 2008

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