vendredi, 28 septembre 2007
"Thou wast not born for death, immortal Bird !"
La pie de Bruegel : tout aussi immortelle que le rossignol de Keats.
Faute de gibets — quoique les gibiers de potence courent les rues —, celles de lille, aujourd’hui, juchent sur les antennes de télévision.
Faut-il y chercher y chercher quelque signification emblématique ?
10:12 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
TNT : elles vont disparaître plus vite que les gibets (les pies ?)
Écrit par : Flivo | vendredi, 28 septembre 2007
& l'alouette de Wordsworth, alors, hein ?
Écrit par : MuMM | samedi, 29 septembre 2007
J'aime bien aussi celles qui grisollent dans le poème de Joseph von Eichendorff, "Im Abendrot", le dernier des quatre derniers lieder de Strauss...
Écrit par : C.C. | samedi, 29 septembre 2007
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