jeudi, 31 août 2006
Slam
Ce matin, expédition à la sous-préfecture pour acheter un peu de lecture. À la librairie, des piles de nouveautés et de poches classiques : rentrée littéraire, rentrée scolaire... Tout ça n'est pas très intéressant. Quoique je jure régulièrement de ne plus me fier aux critiques, je repars avec Les Bienveillantes, de Jonathan Littell, dont on dit le plus grand bien. Côté polars, c'est un peu la misère. Je déniche tout de même un Pelecanos ; j'hésite devant un Crumley que je ne crois pas avoir lu, mais finalement, non, le dernier m'a laissé un trop mauvais souvenir... Je prends Delirium tremens, de Ken Bruen — pour le titre — et je termine avec le Journal d'un lecteur d'Alberto Manguel. La libraire m'offre en prime une anthologie du slam :
"Je ne pense plus à rien
Je ne pense plus qu'à nous deux
Perdus au bout du chemin
Veuille recevoir en ces lieux
Je ne pense plus qu'à nous deux
Perdus au bout du chemin
Veuille recevoir en ces lieux
Des roses en guise de dessin
Vois je n'ai pas trouvé mieux..."
Vois je n'ai pas trouvé mieux..."
Les lieux ? C'est là sans doute que le bouquin finira.
22:56 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je suis moins courageux que vous, mais le ramdam fait autour des Bienveillantes a fait que je l'ai réservé à la bibliothèque. On s'engagera plus avant après un premier débroussaillage (900 pages...)
Pour Crumley, à part les deux premiers qui font l'objet d'une réédition, j'avoue n'avoir jamais été convaincu.
Écrit par : Tlön | vendredi, 01 septembre 2006
Le papier de Schneider dans Le Point m'a refroidi...et la louange mesurée de Fumaroli m'a confirmé dans l'idée de patienter...
Écrit par : mongka | vendredi, 01 septembre 2006
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