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jeudi, 17 août 2006

Solderie

Ce matin, expédition à la solderie. Des livres invendus, qui dans deux jours seront invendables, feuilletés et rejetés dédaigneusement dans les bacs, jaquettes froissées, pages cornées, souillées... Je repars avec deux romans d'auteurs inconnus (on ne peut pas être déçu par un livre dont on n'attend rien) et quelques bouteilles de pauillac cru bourgeois 1997.

Commentaires

"on ne peut pas être déçu par un livre dont on n'attend rien" : j'adore !

Écrit par : Ray | vendredi, 18 août 2006

En revanche, on peut être déçu par un bordeaux dont on attendait beaucoup (je ne parle pas du pauillac, que je n'ai pas encore goûté) !

Écrit par : C.C. | vendredi, 18 août 2006

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