vendredi, 03 mars 2006
Météo 13
En dépit d’une météo alarmiste, on circulait plutôt bien, ces jours derniers, dans la moitié nord de la France. Quelques flocons, mardi, sur le Nivernais et l’Auxerrois, chaussée gadouilleuse du côté de clamecy ; rien pourtant qui puisse justifier une "alerte orange".
à lille, mercredi, ciel capricieux d’avant-printemps, trottoirs à peine poudrés de neige le matin. Les premiers crocus pointent le nez dans le gazon pelé d’un parterre de Wazemmes. Au "Furet" aussi, on prépare le printemps. Celui, paraît-il, des Poètes. Nous avions déjà la saint-Valentin, la journée de la Femme, la fête de la Musique, la Fête des Grand-Mères, que sais-je ? Alors, pourquoi pas ? Et, comme je ne trouve en rayon ni Federman, ni André de Richaud, ni Pirotte — dont je pensais acheter les Contes bleus du vin —, je repars avec Nul ne s’égare, d’André Frénaud.
Mais où sont les neiges d'antan ? Colette est à la littérature ce que Dalida est à la chanson française.
21:10 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
"Colette est à la littérature ce que Dalida est à la chanson française."
Ma-gni-fi-que.
Écrit par : dvx | vendredi, 03 mars 2006
Adorable cette fois-ci...
Écrit par : RPH | samedi, 04 mars 2006
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