Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 11 décembre 2005

Ludions et farfadets

Le regretté André Blavier a consacré l'un des chapitres les plus réjouissants de ses Fous littéraires (Henri Veyrier, 1982) aux "persécutés, persécuteurs et faiseurs d'histoires". Si l'on en juge par le contenu de certains blogs à prétentions "littéraires" — et le niveau des polémiques qu'ils alimentent —, l'engeance des graphomanes paranoïaques n'est pas près de s'éteindre.

Commentaires

mais voyons cher CC !

nous sommes tous des graphomanes paranoiaques

allez ! on chante en choeur :

"il est des nôooooooooo ÖÖÖ tres
il est grapho- parano comme les zÖÖÖÖ ooooo tres"

(sinon on se contenterait tous et toutes de cultiver nos poireaux et on mijoterait dans l'odeur insupportable de la soupe aux poireaux )

Écrit par : hozan kebo | dimanche, 11 décembre 2005

Grapho- et parano, oui, sans doute, mais pas logodiarrhéique furibond, je l'espère, comme quelques agités du bocal notoires qui bombinent assidûment autour de certains sites nauséabonds... Voir, par exemple, les batailles de commentaires sur la page de Cormary, en particulier suite à la note du 30/11/2005...

Écrit par : C.C. | dimanche, 11 décembre 2005

Pour ce qui est de la soupe aux poireaux, son odeur, répandue dans les cages d'escaliers populaires et associée au pipi de chat, n'est-elle pas un véritable topos littéraire, relevant d'un préjugé et chargé de connotations injustes ?
Saluons le poireau, dont le blanc enrichit le potage Du Barry ; le poireau-vinaigrette, la flamiche et la fondue de poireaux, délicat accompagnement des saint-jacques et du filet de sole ! Et, comme disait Béroalde de Verville : "N'oubliez pas le beurre, c'est la douceur d'entre les jambes !"

Écrit par : C.C. | dimanche, 11 décembre 2005

Les commentaires sont fermés.