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samedi, 26 novembre 2005

Oliver Finkielkraut

Les journaux : Finkielkraut présente des excuses.

Je pense à cette inénarrable séquence d'un vieux Laurel et Hardy, dans lequel ce dernier, avec l'aide de son comparse, réduit un piano en miettes en pleine rue. S'apercevant un peu tard qu'un policeman l'observe, l'irascible bibendum récupère dans le caniveau deux touches orphelines et s'efforce, avec un sourire contraint, de reconstituer le clavier qu'il vient de saccager avec une rage jubilatoire...

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