samedi, 21 mars 2009
"Optima vinetis satio..."
Bel après-midi soleilleux et frais, petit vent crispé. Jusqu'à la tombée de la nuit, travail dans la vigne, sur les côtes de Clermont. L'esprit vagabonde pendant que les mains s'activent, maladroitement, à attacher les sarments aux fils de fer rouillés. Nous rêvons de vendanges futures parmi les arpents abandonnés, livrés au ronces et aux herbes folles.
23:26 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Nous suivrons vos efforts avec intérêt, comptant goûter le résultat de vos travaux viticoles.
Écrit par : RPH | dimanche, 22 mars 2009
Eu égard à l'état d'abandon de ces quelques arpents de gamay, je crains qu'il ne faille attendre encore un peu...
Écrit par : C.C. | dimanche, 22 mars 2009
Nous saurons être patients...
Écrit par : RPH | dimanche, 22 mars 2009
:)
Écrit par : Corynne | lundi, 23 mars 2009
Le vain devin devint ce que le vin devinât. (et hic !)
Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 27 mars 2009
Ou "devina" d'ailleurs (?) : Par les temps qui courent, je suis très subjonctif, c'est vrai !
Écrit par : Martin Lothar | vendredi, 27 mars 2009
"L'usage seul peut apprendre quand il faut mettre le verbe au subjonctif. Nous en avons averti toutes les fois que l'occasion s'en est présentée." (Dictionnaire critique de l'abbé Féraud, 1787)
Écrit par : C.C. | samedi, 28 mars 2009
Merci pour cette précieuse précision. Cela étant, le subjonctif est un art plus philosophique que grammatical. (On pourrait m'objecter certes, que la grammaire est aussi philosophie, mais c'est un autre débat - ou combat)
Écrit par : Martin Lothar | samedi, 28 mars 2009
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