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vendredi, 26 octobre 2007

"Quel diable de langaige est cecy ?"

Plus que l’erreur grossière, faux-sens ou contresens, m’agace, dans un texte traduit, surtout lorsqu’elle est récurrente, l’incorrection due à une impardonnable méconnaissance de la langue cible — qui se trouve être, le plus souvent, la langue maternelle du traducteur. Ainsi (mais on pourrait multiplier les exemples) dans L’Homme chauve-souris, de Jo Nesbø, "rien moins" systématiquement employé pour "rien de moins". Cela vous gâche le plaisir de la lecture — car les polars de Nesbø sont d'une excellente tenue. Est-il plus difficile d’écrire un français correct que de comprendre le norvégien ?

Commentaires

Mince, se plaindre de la qualité de la traduction d'un… polar, au moins on peut dire que vous êtes un original, vous.

Écrit par : Lapinos | jeudi, 01 novembre 2007

J'affirme haut et fort (jeu de mot involontaire et maladroit, mais peu importe) qu'il est malheureusement plus aisé de comprendre le norvégien que d'écrire un français correct (du moins pour moi).

La langue française est truffée de mystères incroyables, alors que du Norvégien, à comprendre, c'est pas évident, mais ça n'est pas impossible...

Soit dit en passant, je ne me suis pas encore jeté sur les polars de Nesbø, ni en norvégien (parce que ça a beau être pas compliqué, c'est quand même pas facile), ni en français (et ce post ne m'y encourage pas).

Écrit par : Pierrotlalune | lundi, 19 novembre 2007

Ne vous privez pas pour cela de la lecture de Nesbø, qui résiste tout de même aux cacographies des traducteurs !

Écrit par : C.C. | lundi, 19 novembre 2007

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