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dimanche, 12 novembre 2006

Littérature et cynophilie

Publication, chez Pauvert, de deux tomes du Journal de Jacques Brenner. Un événement littéraire, rien de moins (comptes rendus dans Libération, Le Monde, Le Figaro). Brenner parle de sa vie intime et de celle de ses chiens, Olaf et Falco. Il note, par exemple, à propos de ce dernier : "Sa sexualité fonctionne. Dans l'après-midi, comme je m'étais étendu pour faire la sieste, il est venu pour se faire branler."
"C’est un livre bouleversant", déclare Jean-Marc Roberts. Qui en douterait ?

Commentaires

Son chien se fait branler : c'est effectivement un événement littéraire...

Écrit par : RPH | dimanche, 12 novembre 2006

Le problème est bien là : qu'il y ait, dans l'actualité littéraire, autant de branlette et de chienneries.

Écrit par : C.C. | dimanche, 12 novembre 2006

Au vu des extraits cités dans la presse, ce Journal semble pathétique et fort monotone. Je passerai mon tour.
Ce serait rendre meilleure justice à Jacques Brenner de rappeler qu'il a signé plusieurs bons romans qui ne méritent pas de tomber dans l'oubli : L'Armoire aux poisons, L'Inconnue de la Seine, La Villa Sainte-Lucie, notamment.

Écrit par : Athis | lundi, 13 novembre 2006

Une calamité ce Jean-Marc Roberts : rien à dire, jusque-là c'est pas un problème, mais en plusieurs paragraphes.

Écrit par : Lapinos | lundi, 13 novembre 2006

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