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lundi, 02 octobre 2006

Ornithologie

Dans L’Épouvantail, de Ronald Hugh Morrieson, deux adolescents s’interrogent sur les sensations que procure le plaisir amoureux :
"Je me demande quel effet ça fait, ajouta-t-il juste avant qu’on se sépare au coin de la rue.
— Quoi ? demandai-je ?
— Tu-sais-quoi, répondit-il.
— D’après Herbert, c’est comme s’il y avait des mésanges qui te sortaient du trou de balle."

(traduction Jean-Paul Gratias, Rivages/Noir, 2006) 

Commentaires

Ces anges nous trouent !

Écrit par : RPH | mardi, 03 octobre 2006

Les voies du Seigneur sont impenetrables !

PKK

Écrit par : Kamarad Alibekov / PKK | mardi, 03 octobre 2006

Parlez de cul, c'est attirer les mouches à merde.
Moi le premier, depuis quand n'avais-je pondu un commentaire?
Passé cette petite génuflexion cérébrale, la réplique m'a dilaté l'anus, si j'ose.

Écrit par : raskolnikov | mardi, 03 octobre 2006

Rien de plus normal de parler ici de cul et de merde si l'on s'accommodait deja a l'epoque du climat olfactif qui regnait lors du bapteme de Constantin V.

Ces effluves litteraires nous plaisent, par consequent, cher CC, sur notre blog, nous vous linkons.

PKK

Écrit par : Kamarad Alibekov / PKK | mercredi, 04 octobre 2006

Sans oublier qu'à l'autre bout...

"dans un monde sans mélancolie,
les rossignols se mettraient à rôter"
(Cioran)

... la boucle est bouclée

Écrit par : hypérion | lundi, 09 octobre 2006

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