jeudi, 13 octobre 2005
Paix des pâtis
Les vaches, autrefois, regardaient passer les trains ; les chiens poursuivaient les automobiles de leurs abois rageurs. Dans nos campagnes, sillonnées à longueur de temps d'engins bruyants, c'est le promeneur à pied qui est aujourd'hui offert à la curiosité bovine et à la fureur des mâtins.
19:56 Publié dans Mes inscriptions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Je ne vous le fais pas dire...
Écrit par : le buissonnier | jeudi, 13 octobre 2005
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